ISLANDE 2012 † 6

"Le voyage Kodachrome"

Dernière partie 6/6

 
 
 

Vers l’Ile de Flatey


 

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Bienvenue à bord du ferry Baldur. Nous avons embarqué à Brjánslækur (au nord) et descendons vers Stykkishólmur sur la péninsule de Snæfellsnes. Nous ferons une halte sur l’île de Flatey « l’île plate », 3 heures durant lesquelles nous pourrons explorer l’île et peut-être rencontrer des islandais, qui sait ?

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Approchant de Flatey nous apercevons son fanal, le Klofningur, si typique des phares islandais dans son habit orange. Il a été construit en 1926.

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Quand on débarque sur Flatey on ne voit que des visages rayonnants. Des retrouvailles, des embrassades, des brouettes d’enfants. Pas de voiture sur Flatey, pas même de route, quelques maisons blotties autour d’un joli café, puis éparpillées ça et là le long du rocher.

On peut s’y arrêter quelques heures et goûter aux délices d’une vie épargnée par les bruits (et la fureur) de la civilisation.

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La première maison que l’on croise sur l’île est un magasin (le seul et unique d’ailleurs, habilement nommé « magasin du quai »), aménagé dans un ancien hangar. Délicieux bazar, merveilleux bric à brac proposant des objets aussi divers que variés.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Urður, la gardienne du temple » couleur= »white »  heure= »13h34″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/40″ angle= »40 mm » iso= »160″][/ip_exifs_txt]

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Bienvenue au Bryggjubúðin !

C’est Urður Bergsdottir, qui nous accueille, gardienne du temple ce jour-là.

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Cranes de mouton, macareux empaillés, oeufs colorés, toutes sortes de pierres.
Petits bijoux, créations sur carton, sur papier, broderies, livres et vieux objets.
Sans oublier de gros pulls islandais.
C’est un véritable cabinet de curiosité Viking qui vous attend ici, un trésor d’authenticité.

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Les beaux livres du Bryggjubúðin.

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Sur Flatey les sternes arctiques sont reines. Gare à celui qui s’éloigne du village et flirte avec leur territoire, elles auront vite fait de le chasser.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La maison Stryta » couleur= »white »  heure= »14h23″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/125″ angle= »29 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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Stryta, maison typique de Flatey, est idéalement située en face d’une jolie crique où sommeillent quelques barques de pécheurs. Une grand-mère et son petit fils en sont sortis et ont invité Andy à manger quelques biscuits…

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »À l’intérieur de Stryta » couleur= »white »  heure= »18h39″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/30″ angle= »17 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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… profitant de l’aubaine nous fûmes invités à boire un café dans cette maison au charme indescriptible. Les grand-parents de Sigurður Már (le blondinet) connaissent bien les enfants : lui professeur de mathématique à la retraite, elle ancienne institutrice, tous deux sont originaires de Selfoss et passent ici tous leurs étés.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La chambre de Stryta » couleur= »white »  heure= »18h28″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/30″ angle= »17 mm » iso= »160″][/ip_exifs_txt]

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Stryta est décorée par Madame avec un soin infini, chaque objet (la maison en fourmille) est classé selon sa couleur et son style. Les pièces sont minuscules, les chambres à l’étage ne semblent pouvoir accueillir que des poupées, mais les ondes et la chaleur qui y règnent donnent envie de rester ici pour l’éternité.

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Les islandais ont pour tradition de décorer leurs fenêtres. Plaisir partagé, échange silencieux entre monde intérieur et extérieur, les objets et bibelots divers trônent fièrement, offerts en pâture aux passants.

La petite maison Stryta ne faillit pas à la règle et chacune de ses ouvertures propose une collection particulière. Cet alignement de bouteilles semble tout droit sorti d’une pharmacie elfique. Elixir, poison ou antidote ? Peu importe, l’envoutement a déjà fait son effet. Depuis longtemps.

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Retour sur le quai où les enfants batifolent. Andy les observe. Il a envie de jouer, mais ils sont bien trop grands !

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Je profite une fois encore de la bienveillance islandaise. Le capitaine du Baldur m’invite à ses côtés pour profiter du spectacle de la traversée.

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Kirkjufellfoss, Hraunfossar


 

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Débarqués à Stykkishólmur nous nous précipitons à Grundarfjörður pour voir Kirkjufell. Il est déjà bien tard, nous dormons à ses pied pour la photographier au petit matin.

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Hraun = Lave. Fossar = Chute. Hraunfossar = Chute de lave. Mais pourquoi ?
Car l’eau surgit de toute part des flancs de lave qui la bordent et non pas d’un cours d’eau. Pour ajouter à la beauté du lieu, l’eau de la rivière est d’un bleu turquoise qui frôle l’indécence.

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Reykjavik


 

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Retour à Reykjavik.
Nous retrouvons ses codes et ses icônes. Parmi eux, ces vieilles voitures américaines des 70s que l’on croise en nombre (rappelez-vous du Dodge Challenger sur Heimaey) dans un pays pourtant totalement inadapté à ce genre de véhicule. La plaque d’immatriculation – comme aux Etats-Unis – peut être personnalisée…

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En arrivant le premier jour j’étais monté au vieil hopital pour y photographier l’église. Vous vous souvenez ?

J’ai voulu y retourner juste avant de partir, négociant avec le gardien quelques minutes seul, en haut de la tour, pour embrasser du regard une dernière fois cette ville, la capitale du pays que j’aime tant.

J’y retournerai très bientôt, mais en hiver cette fois !

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ISLANDE 2012 † 5

"Le voyage Kodachrome"

Partie 5/6

 
 
 

F338, F35, vers le nord


 

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J’ai souhaité parcourir cette piste (F338) en éclaireur. Je voulais vérifier si elle réservait des surprises ? Si on passe outre les délices de solitude qu’elle offre au voyageur, il n’y a pas grand chose à voir. Et puis, elle est parcourue par de nombreuses lignes à haute tension ce qui n’arrange rien.
Pourtant, il est possible d’y croiser ces jolis oasis, petites fleurs fragiles dans un désert hostile.

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Hveravellir est une zone géothermique unique au monde. J’ai attendu les heures vespérales pour en garder un souvenir bleuté.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Temps colérique et tole ondulée » couleur= »white »  heure= »19h05″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/160″ angle= »40 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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Typiquement le temps que l’on peut trouver sur la route 35. Lumière d’argent sur sol de charbon.

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Reconnaissable entre tous, le Kerlingarfjöll et ses « montagnes caramel » font partie du voyage. Je n’y ai toujours pas trouvé la lumière espérée, mais il ne pleuvait pas, c’est déjà ça!

Sur la passerelle de bois j’ai croisé 3 jeunes randonneurs tout juste rentrés d’une semaine passée dans le Hornstrandir (extrême Nord des Westfjords, zone très isolée accessible uniquement par bateau). L’un d’eux m’a montré sur son reflex la minute rêvée où il a pu y filmer une mère renard arctique jouant avec ses petits.

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8h32, température idéale et délice d’un rayon de soleil. On en profite pour aérer la voiture avant d’aller explorer les Westfjords.

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Les Westfjords


 

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La route qui mène à Djúpavík jusqu’aux frontières du Hornstrandir, la région du Norðurfjörður est probablement ma préférée.

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On y trouve des plages désertes recueillant du bois flotté provenant de Sibérie. Les précédents visiteurs ont laissé un message, ce drapeau islandais bricolé avec soin, on ne sait trop pourquoi, je ne sais trop pour qui, mais je lui rends hommage ici.

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Kambur Mountain. Cette montagne dentellée. Cette maison isolée. Ce fjord argenté. Cette lumière. Cette beauté.

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Arrivés à Djúpavík à presque 23h, nous découvrons quelques maisons regroupées autour du monument historique de la ville : la cheminée de l’usine de hareng.

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Comme dans beaucoup de villages islandais les enfants improvisent un petit marché fait de bric et de broc, de cailloux, de coquillages et de petits morceaux de bois flotté.
Andy était si content de trouver des enfants dans une région (Norðurfjörður) où ne vivent que 56 habitants.

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La turbine du moteur de l’usine abandonnée de Djúpavík.

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Nous voici à l’intérieur d’un des silos de l’usine. Entièrement fermé, outre le charisme visuel du lieu (les lignes fuyantes de métal rouillé, la matière de ses murs décrépis), la résonnance à l’intérieur est unique et je ne peux m’empêcher d’y pousser des notes qui se répètent à l’infini.
Petite précision : il n’y a pas de porte, il faut s’y flisser à travers le trou que vous apercevez sur la gauche.

C’est dans ce silo que Sigur Rós a enregistré ce morceau (que j’aime infiniment) :

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Anecdote : Cet endroit m’a fait découvrir un destin. Claus est allemand. Passionné – je le cite – par les îles, les endroits reculés et / ou abandonnés, sa vie va basculer quand en 2003 sa petite amie d’alors (« she probably wanted to get rid of me » me dit-il avec malice) lui montre un article de journal parlant de l’hôtel le plus isolé du monde et de l’usine qui lui fait face. Djúpavík. Tout ce que Claus désirait était là.

Claus a tout quitté : pays, petite amie. il est devenu facteur à Reykjavik afin d’être au plus près, le plus souvent possible, de « son » usine de Djúpavík.

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La longue galerie de l’usine abandonnée de Djúpavík. Y sont parfois organisés des concerts et des expositions.

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Ce ponton fait face à Djúpavík, la ville du bout du monde. Quand je dis ville, je mesure mes propos puisque ce ne sont que quelques maisons qui la composent dont la moitié sont abandonnées.
Au milieu du village vous trouverez le merveilleux Hôtel Djúpavík dont les propriétaires Eva et Ásbjörn sont les seuls à résider ici toute l’année depuis 1984.
J’y passerai une nuit dans la chambre n°9 en août 2016.

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On trouve dans les Westjords ce genre d’abri insolite. Situé sur un plateau venteux le marcheur égaré, le cycliste épuisé y trouvera refuge pour la nuit. Difficile de résister à la curiosité : que trouve-t’on à l’intérieur ? Allons jeter un oeil.

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Voici le cahier que j’y ai trouvé. Ils sont – à mon sens – des objets aussi précieux qu’esthétiques, patinés par le temps et les intempéries, remplis de l’énergie des gens de passage, seuls véritables témoins du lieu. Jusqu’à la couverture celui-ci est rempli, qui aura la bonne idée de laisser un nouveau cahier pour continuer l’histoire ?

Le problème n’est pas tant d’avoir l’idée, mais tient surtout dans le fait qu’on se balade rarement dans ces contrées avec un cahier vierge ! À retenir pour les prochaines fois.

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Cadre dans le cadre, la fenêtre à l’étage vous donne une idée de l’environnement, désertique et dénué de tout abri.

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J’aime cette photo mais je comprendrais que vous n’y voyiez aucun intérêt.
Elle raconte le côté rugueux de la rocaille islandaise, la difficulté d’y construire une piste. On prend un plaisir immédiat au gigantisme du camion qui prend toute sa dimension grâce à Andy.

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Un autre abri d’urgence, ultra-plus moderne celui-là. Andy veut visiblement y entrer. Allons-voir.

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Voici le contenu de la navette spatiale : des banquettes de moleskine, une couverture élimée et un chauffage à gaz. Une tablette sur laquelle on trouve quelques bougies et de la nourriture laissée par les précédents visiteurs (provenant si possible du pays d’origine pour marquer son identité).

Il y a une idée de transmission dans ces refuges : je laisse un message (nom, date, nationalité, quelques mots, petits croquis pour les plus audacieux) qui témoignera de mon passage et animera la soirée du randonneur solitaire. Un peu de nourriture. On trouve aussi un transmetteur radio pour les appels d’urgence.

Vous apprécierez le titre du roman, judicieusement choisi.

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Quand l’océan arctique se déguise en océan indien.

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Les falaises de Latrabjarg, extrême ouest du pays, reçoivent en cette fin de journée les feux d’un soleil épousant l’horizon.
Les premiers oiseaux que nous apercevons sont ces petits pinguoins, oui oui, ce sont des pinguoins Torda, « Razorbill » en anglais.

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La population de macareux (« Puffins » en anglais) a très nettement diminué en Islande sans que l’on s’explique pourquoi. Passée de 5 millions à 2 millions en quelques années, on ne trouve plus ces adorables compagnons que dans quelques coins, et de façon sporadique. Terrifiant ! Je n’en ai par exemple pratiquement pas vu dans les Iles Vestmann dont ils sont pourtant l’emblème.

J’ai heureusement pu en observer sur les falaises de Látrabjarg, unanimement reconnues comme un des plus beaux « spots » à oiseaux marins du monde. Nous étions d’ailleurs nombreux ce jour-là. Etonnant de voir ces photographes parcourir le monde avec leurs énormes téléobjectifs en quête de quelques volatiles.

Ne prêtant aucune attention aux paysages, ils viennent directement ici. Leur truc c’est les oiseaux et puis c’est tout.

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