PREMIER JOUR AUX ILES FÉROÉ

 

PREMIER JOUR AUX ILES FÉROÉ

21 janvier 2017

J’avais le coeur gros lorsque je débarquais sur le sol féroïen en provenance de Reykjavik ce mois de janvier 2017. Je ne venais pas de Paris, linge plié dans un sac bien rangé non, je venais d’affronter 10 jours durant les Westfjords islandais.

Cela faisait longtemps que je m’étais fait cette promesse.

10 jours de solitude à arpenter les fjords, les tempêtes de neige et les routes bloquées, la nuit qui tombe à 15 heures et des paysages qui vous laissent en lambeaux.

Le déclencheur fut l’amour d’une fille que j’avais croisé l’été 2016, un « amour de vacances » dans les Westfjords. Cela n’est pas commun vous me direz, de rencontrer quelqu’un dans ces contrées. Le magnétisme, la magie de l’endroit avait du nous troubler. Las, l’histoire n’a pas duré mais j’ai voulu revenir, marcher dans nos pas pour revivre sur le 66e parallèle ces instants partagés.

Mal m’en a pris : mélanger tempête et cœur blessé ne fut pas la meilleure de mes idées. Vous découvrirez bientôt ce voyage qui, s’il fut éprouvant, m’a permis de tenir ma promesse : découvrir les Westfjords en janvier.

Et puis vint le temps de changer. Prendre l’air. Découvrir une nouvelle terre. Une cousine, une sœur de l’Islande : les îles Féroé.

La décision fut prise quelques semaines auparavant suite au soutien de l’équipe de Visit Faroe Islands.

Cela va te surprendre mais je n’avais rien préparé, rien lu, rien vu sur les Iles Féroé. Je voulais me sentir comme un naufragé, débarquant là sans rien connaître, faisant ainsi de chaque route, chaque chemin, un trésor de découverte. Cette aventure durera 18 jours. Voici le récit de ma première journée.

Première lueurs sur Tórshavn, capitale des Iles Féroé

Je séjournais à l’Hôtel Foroyar. Tout le monde le connaît. C’est LE grand hôtel des Féroé. On y célèbre les mariages, les grands évènements, on y reçoit les présidents (Bill Clinton a laissé son nom à une suite). Nichées dans le sol et surplombant la ville, les chambres donnent toutes sur la baie. Chaque matin c’est un miracle de couleurs, de lumières et de reflets.

 

Lever du jour sur le port de Tórshavn

D’ici on aperçoit le port. J’aime les villes qui ont un port. Je me suis souvent dit que c’est un parfum qui manque à Paris.

Kaldbaksfjørður au lever du jour

Qu’allais-je faire de cette journée ? Je n’ai écouté que mon désir, celui de tourner à gauche en sortant de l’hôtel et prendre la 50, cette ancienne route souvent plongée dans le brouillard qui parcourt l’épine dorsale de Streymoy. C’est une des plus belles routes des Féroé, pourquoi résister ?

La lumière remplie le fjord Kollafjørður

Qu’on ne s’y trompe pas. La lumière ne se répend pas comme un liquide.
Elle est solide, compacte, c’est un serpent de photons qui se glisse lentement dans les creux du Kollafjørður.

Montagne du Landmannalaugar en Islande

Passé le long tunnel me voici sur Vágar. Depuis Sandavágur on aperçoit d’autres îles dont je ne connais pas encore le nom. J’observe le spectacle. La lumière est basse, puissante et fragile à la fois.

Randonnée sur les rives du Sørvágsvatn

Je me dirige vers LE LAC. Sur tous les plans il sème le trouble. Pour commencer il a deux noms : Sørvágsvatn ou Leitisvatn, c’est selon. Les féroiens l’apellent « Le lac », cela résout ainsi la question.
Trouble visuel ensuite car ce lac semble suspendu au dessus des flots comme les jardins sur Babylone. Je passe ma première heure à longer ses eaux calme. Le contraste avec l’océan au loin est frappant.

Lumière sur Trælanípa, la falaise aux esclaves

Arrivé sur les falaises Trælanípa je prends la mesure des éléments qui me font face. Ici tout n’est qu’angle droit. Horizontales et verticales forment le paysage. La nature joue les Mondrian.

Je m’aventure sur les sommets. J’atteins le point de vue tant espéré. D’ici on s’offre l’impensable, les éléments se jouent de la réalité. Je m’aventure tout près du bord. Le vent souffle si fort, 200 mètres plus bas l’océan est déchainé. D’une main tremblante je tiens le boitier, de l’autre j’agrippe le rocher.

Vue sur le lac Sørvágsvatn et Geituskorardrangur

Plus bas j‘aperçois la chute Bøsdalafossur, cordon ombilical qui relie les eaux claires et les eaux salées. Juste derrière les Geituskorardrangur, canines de basaltes de la côte sud de Vágar. Là-bas tout au fond l’île de Mykines qui me fait tant rêver.

 

Balade sur les falaises de Ritubergsnøva

Je voudrais rester ici, en profiter, mais j’ai un autre projet pour la journée. Il est 12h30, j’ai une heure pour rejoindre la voiture… cela nous donne 13h30 ? ok. Le soleil se couche à 15h58 précises. J’ai 3 heures pour franchir la montagne.

Trøllkonufingur et une petite maison à côté qui montre sa taille gigantesque

J’ai pressé le pas et ce petit quart d’heure d’avance me permet de tenter d’approcher le doigt de tröll, le «Trøllkonufingur».

Il est aussi haut que la tour Eiffel (313 m) pourtant je ne sais comment l’atteindre, il se dérobe à chacun de mes pas. Je marche à travers une lande gorgée d’eau, sautant les clôtures, m’extirpant des buissons, en quête d’un point de vue qui lui rende toute sa majesté.

Le village de Bøur et son église

J’ai retrouvé la voiture. Il est temps de faire route vers l’ouest, il est déjà 14h passé. Je m’arrête à Bøur, hypnotisé. C’est le plus beau village que je n’ai jamais croisé.

Je passe cette rivière puis gare ma voiture au bout d’un chemin. Là je prends mes deux boitiers autour de mon cou et m’apprête à grimper la montagne Heinanøva qui culmine à 612 mètres.

Quel est mon but ? Eviter le tunnel et rejoindre Gásadalur à pied, par la montagne. Mais pourquoi ?…

Vue sur le fjord Sørvágsfjørður

Jusqu’en 2004 Gásadalur « la vallée des oies » était un des villages les plus isolés au monde. Le seul moyen de l’atteindre (ou de le quitter !) étaient d’arpenter un sentier de 3,5 km qui passe par la montagne. Ce tracé escarpé de 2h30 était utilisé par le postier trois fois par semaine quelles que soient les conditions climatiques.
Je voulais marcher dans ses pas pour lui rendre hommage et profiter des points de vue incroyables sur Sørvágsfjørður, Tindhólmur, et Mykines. Je ne voulais pas découvrir Gásadalur autrement que par les yeux du postier.

Tindhólmur au coucher du soleil

Je ne vous cache pas que, démarrant cette randonnée à 14h30 seul et sans lumière, j’étais un peu stressé. Mais je me suis offert pour les mêmes raisons un soleil couchant et Tindhólmur à contre jour, accompagnés de fulmars frôlant mon épaule à chaque fois que je m’approchais du vide.

L'ile de Mykines et un oiseau

Quel sentiment d’exaltation à la découverte de Mykines, proue des îles Féroé, silencieusement posée sur l’océan face à moi. Elle semble déserte et pour cause : seuls 10 habitants y trouvent refuge, nichés dans une vallée sur le versant ouest, de l’autre côté.

Je ne le sais pas encore, mais j’irai quelques jours plus tard en hélicoptère (seul moyen de l’atteindre en hiver) rejoindre le village de Mykines pour y vivre une aventure extraordinaire (à lire dans un prochain récit).

Gásadalur et sa chute Múlafossur

Arrivé au sommet la vue est indescriptible mais je dois faire vite car le ciel s’assombrit.

Je cavale sur le sentier qui descend vers le village. La pente est raide et les cailloux roulent sous mes pieds. J’atteins bientôt la route et me dirige vers Múlafossur, la chute emblématique de Gásadalur.
Il n’y a personne. Le fracas des vagues couvre mon vague à l’âme.
L’image est irréelle et les sensations, immenses.
Je pose mon trépied car la lumière a disparu. 30 secondes me seront nécessaire pour capturer cette image.
Il est 16h57.
Dans une minute il fera nuit.


 

PARTENAIRES

Ce voyage a été réalisé avec le soutien de Visit Faroe Islands

Lire plus

ISLANDE 2012 † 4

"Le voyage Kodachrome"

Partie 4/6

 
 
 

La côte sud, Vik, Dyrholaey


 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Réveil à Glufrafoss » couleur= »white »  heure= »9h00″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/100″ angle= »25 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Retour sur la côte sud où nous reprenons des forces sur la prairie de Gufufoss. Andy avale son biberon après avoir englouti quelques kleinas (patisseries islandaises).

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La chute cachée » couleur= »white »  heure= »11h33″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/5.6″ pause= »1/160″ angle= »28 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Gufufoss est cachée dans une faille, il n’est pas compliqué de l’atteindre par contre il est impossible de la voir en restant au sec. Prévoyez une cape de pluie !

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Summer vibes à Vik » couleur= »white »  heure= »16h17″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/9″ pause= »1/200″ angle= »24 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Une photographie qui sent bon l’été. Il me semble que les petites fleurs jaunes sont des renoncules, semblables à celles que l’on trouve aux Iles Féroé.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Reynisdrangar depuis la colline » couleur= »white »  heure= »15h04″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/13″ pause= »13 sec » angle= »27 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Cette photo a été prise au Nikon D800 avec un Big Stopper de chez Lee Filters ce qui me permet une pause de 13 secondes en plein après-midi. Le soleil radieux fait exploser les couleurs et rend le sombre océan lumineux et transparent.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Volcanic bird » couleur= »white »  heure= »18h57″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/320″ angle= »31 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

J’aime beaucoup cette photographie que j’ai tiré en grand format sur un papier Hahnemühle Photo Rag. Le tirage Noir et Blanc sur ce papier texturé en fibre de coton est magnifique. Vous devriez essayer !

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Phare de Dyrhólaey I » couleur= »white »  heure= »19h27″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/160″ angle= »22 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Ce point de vue sur Dyrhólaey depuis l’arche montre l’érosion de la roche qui subit les assauts d’un océan rageur à longueur d’année.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Phare de Dyrhólaey II » couleur= »white »  heure= »19h46″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/250″ angle= »35 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Le phare du cap Dyrhólaey capte les derniers rayons du soleil, dans le fond les Reynisdrangar se drappent déjà dans la nuit.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Réveil magique à Skógafoss » couleur= »white »  heure= »7h24″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/80″ angle= »22 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Andy, 7h00 du matin. D’abord simplement postée sur mon blog, j’étais surpris de voir combien cette image faisait réagir. J’ai alors décidé de vous la proposer ici.

C’est dans son pouvoir évocateur qu’elle trouve sa force. En la regardant nous nous mettons à la place de l’enfant émerveillé (par Skógafoss) et réveillons par la même occasion celui qui sommeille en nous.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Ingólfshöfði, au loin » couleur= »white »  heure= »13h36″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/5.6″ pause= »1/500″ angle= »46 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Une évocation d’Ingólfshöfði dans le lointain.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »DC3 sunset » couleur= »white »  heure= »21h32″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/5″ pause= »24 mm » angle= »1/50″ iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Cinq photographies (bracketing) ont été nécessaires pour réaliser ce portrait de l’avion le plus célèbre d’Islande. A cette époque on pouvait encore y aller en 4×4. Et s’y retrouver seul.

[/ip_width_txt]

 
 
 

Lakagigar


 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La canyon Fjaðrárgljúfur » couleur= »white »  heure= »17h04″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/50″ angle= »17 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Un des trésors accessible pourtant souvent oublié. Le Canyon de Fjaðrárgljúfur, creusé il y a 2 millions d’années offre un spectacle irréel. De nombreuses corniches se succèdent et offrent d’impressionnants – mais périlleux – points de vue sur le canyon. De nombreux panneaux préviennent du danger, ce qui laisse supposer de quelques accidents… Sujets au vertige s’abstenir.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »F206″ couleur= »white »  heure= »17h30″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/320″ angle= »52 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

La F206 dans toute sa splendeur. Qu’il est bon de rouler sur cette piste enfin « douce » après 3 heures difficiles dans les cailloux à craindre une crevaison loin de tout.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La faille du Laki » couleur= »white »  heure= »12h59″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/200″ angle= »24 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Le Lakagigar (prononcez « Lakaguigar » si vous voulez sonner islandais) est un endroit unique au monde, la plus grande explosion volcanique de tous les temps (les années de famine qui suivirent sont à l’origine de la révolution française).

En grimpant sur le Laki (le volcan qui a donné son nom au lieu) on aperçoit la cicatrice de 30 kilomètres de part et d’autre.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Lambavatn & Kambavatn » couleur= »white »  heure= »13h08″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/500″ angle= »191 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Or et acier. D’ici on aperçoit les deux lacs jumeaux Kambavatn et Lambavatn. En ligne d’horizon, les montagnes du Langisjór dont je vous parlais précédemment.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La faille du Laki II » couleur= »white »  heure= »13h34″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/500″ angle= »120 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

La vue Nord-Est depuis le Laki. On aperçoit la ligne volcanique sur ce plan écrasé au 200 mm. Au fond, les flancs du plus grand glacier d’Europe, le Vatnajökull.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Cratère du Tjarnargigur » couleur= »white »  heure= »17h16″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/250″ angle= »24 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

La F207, communément nommée « la boucle du Laki » offre de jolies surprises comme ce lac de cratère, le Tjarnagigur. Les minuscules points blancs sur le lac sont des cygnes.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Súlutindar Sunset » couleur= »white »  heure= »22h27″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/400″ angle= »82 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Il arrive que l’on croise des trolls en Islande, quoi de plus normal après tout ? Ce soir-là c’est bien le diable en personne qui m’a foudroyé du regard, évocation maléfique du Mordor («pays noir» en sindarin) pour les amoureux de J.R.R. Tolkien.

[/ip_width_txt]

 
 
 

Jökulsárlón


 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Jökulsárlón la nuit I » couleur= »white »  heure= »23h59″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/10″ angle= »85 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

J’arrive toujours au Jökulsárlón le soir, pour profiter d’une lumière douce. En juin à minuit les couleurs du ciel, de l’eau et de la glace ont le bon goût d’être parfaitement complémentaires (rose / cyan).
Les oiseaux ont l’air d’apprécier tout autant que moi.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Jökulsárlón la nuit II » couleur= »white »  heure= »3h17″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/160″ angle= »200 mm » iso= »250″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Non ce n’est pas un bijou Lalique ou de quelques maitres verriers de Murano. La plupart des blocs de glace du Jökulsárlón sont blancs et opaques, mais quelques-uns sont parfaitement transparents. J’ai plaisir à en observer la texture et les reflets.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Jökulsárlón la nuit III » couleur= »white »  heure= »23h40″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/13″ angle= »40 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Prenant un peu de hauteur, je lève les yeux et respire à fond. Il est 23h44, nous sommes le 29 juin 2012. C’est le jour de mon anniversaire. La lune rousse me lance un regard complice. Ne jamais oublier cet instant.

[/ip_width_txt]

 
 
 

Lire plus

ISLANDE 2012 † 3

"Le voyage Kodachrome"

Partie 3/6

 
 
 

F208, F223, F235


 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »F208 au sud du Landmannalaugar » couleur= »white »  heure= »9h43″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/9″ pause= »1/320″ angle= »32 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

La F208 offre des verts si fluorescents que l’on en vient à croire que le créateur a joué ici avec Photoshop.
J’aime particulièrement ces zones où l’eau cherche son chemin, créant des filaments d’argent sur le sol volcanique. On aperçoit au premier plan un des nombreux gués qui rythment la piste.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »F208 au sud du Landmannalaugar » couleur= »white »  heure= »9h39″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/200″ angle= »26 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

L’air est si pur ici qu’on a l’impression d’avoir mis un filtre anti-poussière sur son objectif.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La montagne Halldórsfell » couleur= »white »  heure= »9h51″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/250″ angle= »40 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

En Islande chaque montagne, chaque colline a son nom. Nul besoin d’avoir des proportions « hors-norme » pour être baptisée.
J’y trouve un rapport avec la nature différent du notre, un certain respect, une attention. Voici donc Madame (Mlle ?) Halldórsfell, toujours sur la F208.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Ófærufoss » couleur= »white »  heure= »16h37″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/9″ pause= »25 sec » angle= »58 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Ófærufoss est située dans une faille de plusieurs kilomètres de long, Eldgjá Canyon « la gorge de feu ». C’est une chute mythique et hors-norme par ses dimensions et sa puissance.
Pour ajouter à sa légende, elle était autrefois ornée d’une arche naturelle au premier plan qui s’est malheureusement écroulée en 1993 suite à un séisme.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »F208″ couleur= »white »  heure= »10h30″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/250″ angle= »52 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Parcourir la F208 est toujours un grand moment émotionnel. La portion sud entre le Landmannalaugar et la Route 1 est sans aucun doute une des plus belles pistes au monde.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Le lac Langisjór » couleur= »white »  heure= »19h54″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/640″ angle= »78 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Le Langisjór est situé dans une zone très isolée des Highlands, au nord du Lakagigar. Lac de forme très allongée, coincé entre 2 rangées de montagnes (Tungnráfjoll et Fogrufjöll), le sentiment de solitude y est à son paroxysme.
J’y ai trouvé un silence absolu, pas un souffle de vent, pas un cri d’oiseau, pas un poisson pour briser la surface de l’eau.

[/ip_width_txt]

 
 
 

Landmannalaugar


 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Stútur Crater » couleur= »white »  heure= »22h20″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/1/160″ pause= »1/160″ angle= »38 mm » iso= »800″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Surplombant le Frostadavatn, on trouve ce petit cratère aux proportions idéales, le Stútur. Je lui ai donné le premier rôle sur cette photo car je l’affectionne tout particulièrement.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Ascension du Bláhnukur, la montagne bleue » couleur= »white »  heure= »12h47″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/200″ angle= »30 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

L’ascension du Bláhnukur, au Landmannalaugar. Je me retourne de temps en temps pour souffler et observer la vallée qui se découvre sous une lumière d’orage, de celles que je préfère.
Des randonneurs en contre-bas (les voyez-vous sur le tracé ?) s’inquiètent devant les ténèbres qui avancent à grand pas.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Emilie et Andy (sur son dos) se détachent à contre-jour » couleur= »white »  heure= »12h58″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/200″ angle= »31 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

La descente de Bláhnukur sur son flanc nord est un peu raide, c’est vrai, mais on plonge alors dans un spectacle irréel. Les derniers rayons du soleil viennent faire exploser les couleurs des montagnes de rhyolite.
[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Sentier sur Bláhnukur, la montagne bleue » couleur= »white »  heure= »13h04″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/100″ angle= »23 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Emilie a pris de l’avance. On aperçoit dans la vallée la rivière que l’on devra traverser pour rejoindre le champs de lave. Gonflée par l’orage, elle va nous causer de sérieux soucis.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Vue plongeante depuis Bláhnukur » couleur= »white »  heure= »12h48″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/320″ angle= »70 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Mais qu’importe, je traine sur les sommets malgré la menace. Comment abandonner de tels points de vue ? Et cette lumière ! Souvenez-vous en 2009, le ciel était si bas et la pluie incessante.
Une randonneuse s’approche de moi : « C’est le paradis des photographe ici ! » me dit-elle avec un sourire complice. Photographe ou pas, tout le monde est sidéré par la beauté qui nous entoure.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Brennisteinsalda, l’Onde sufurique » couleur= »white »  heure= »13h06″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/5.6″ pause= »1/160″ angle= »93 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Gros plan sur l’icône du Landmannalaugar, la montagne Brennisteinsalda (littéralement « Onde sufurique »). Elle est dit-on la plus colorée d’Islande. Deux randonneurs vous donnent l’échelle. Vous les voyez ?

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Vallée du Landmannalaugar » couleur= »white »  heure= »15h47″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/500″ angle= »105 mm » iso= »360″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Plus bas dans la vallée je croise un couple d’oies sauvages. Le ciel est toujours aussi bas, les couleurs, indescriptibles.

[/ip_width_txt]
 
 
 

Ljótipollur


 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Ljótipollur » couleur= »white »  heure= »20h04″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/30″ angle= »55 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Le Ljótipollur est un volcan au charisme impressionant. Il est intimidant avec ses flancs rouge sang. Draculéen.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La rivière Tungnaá » couleur= »white »  heure= »20h54″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/60″ angle= »65 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Depuis sa pointe Est on aperçoit la rivière Tungnaá qui trouve sa source dans le Vatnajökull.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Ljótipollur » couleur= »white »  heure= »21h21″ appareil= »5DMarkII » diaphragme= »f/5″ pause= »1/50″ angle= »40 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Il est 21h21, le jour décline mais je suis comme hypnotisé par le volcan. Silence absolu. Sentiment de solitude exarcerbé par le vide.
Pourtant, une voiture arrive sur la crête. Un homme descend avec une canne à pèche. Sans un regard vers moi il dévale les flancs du cratère et jette sa ligne.
Incrédule, Je le laisse seul dans cette immensité.

[/ip_width_txt]

 

Lire plus

ISLANDE 2012 † 1

"Le voyage Kodachrome"

Partie 1/6

 
 
 

Reykjavik et la péninsule de Reykjanes


 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Landakotskirkja » couleur= »white » heure= »23h19″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/200″ angle= »26 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

C’est toujours un plaisir de retrouver Reykjavik. Une ville où je me sens bien et qui invite à la flânerie. À peine arrivé je suis monté vers le vieil hôpital y photographier cette église néo-gothique, en prenant soin de mettre la cathédrale en arrière plan. Nous sommes le 11 juin, il est 23h25 et le soleil irradie la ville.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Grænavatn à la nuit tombée » couleur= »white » heure= »21h53″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/7.1″ pause= »15 sec » angle= »35″ iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

La beauté du Grænavatn quand il embrasse la nuit.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Reykjanesvíti » couleur= »white » heure= »23h28″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/200″ angle= »200 mm » iso= »160″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Le phare de Reykjanes, le Reykjanesvíti a été construit en 1878. Détruit par un tremblement de terre en 1886 il a été reconstruit en 1929.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Kjartan Halldorsson créateur du Sægreifinn restaurant » couleur= »white » heure= »21h35″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/5″ pause= »1/50″ angle= »40 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Kjartan Halldorsson est un ancien pécheur, c’est le créateur du chaleureux restaurant le Sea Baron où je me précipite pour dévorer quelques brochettes de poisson. Kjartan est là tous les soirs, passant de table en table armé de son sourire et distribuant des bonbons aux enfants. Il décèdera en 2015, une statue de cire à son effigie (un peu effrayante il faut avouer) lui rend désormais hommage dans le restaurant.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »La grotte de Buri » couleur= »white » heure= »12h14″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/60″ angle= »17 mm » iso= »400″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

J’ai profité de l’invitation de Bjorn Hroarsson, géologue et créateur de l’agence Extreme Iceland pour aller explorer une des plus grandes grottes de lave du monde. Bjorn a découvert Buri Cave en 2005. Elle fait 1 km de long jusqu’à un gouffre plongeant dans les entrailles de la terre.
« Entrailles » est un mot choisi tant l’analogie est frappante entre ce « boyau terrestre » et celui d’un corps humain.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

La route 32


 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Gjain Canyon » couleur= »white » heure= »12h24″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »15 sec » angle= »30 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Gjain Canyon est un endroit paradisiaque niché non loin des chutes Haifoss et Granni. On y trouve un dédale de cascades dans une végétation luxuriante, ce qui est assez rare en Islande.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Haifoss » couleur= »white » heure= »14h05″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »15 sec » angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Voici Haifoss, une des splendeurs d’Islande à laquelle je suis particulièrement attaché : c’est la première chute que je suis allé voir en 2009. Haifoss et sa voisine Granni m’acceuillent toujours sous un déluge de grèle et de pluie, je prends cela pour de la bienveillance islandaise.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Le fracas des flots de Haifoss » couleur= »white » heure= »16h34″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/80″ angle= »100 mm » iso= »200″ ][/ip_exifs_txt]

 
 
 

Veiðivötn et les 50 lacs


 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Les cratères de Veiðivötn » couleur= »white » heure= »14h17″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/125″ angle= »40 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Veiðivötn (la région des 50 lacs) est une zone reculée des Highlands, très prisée des islandais amateurs de pèche. Il faut obligatoirement un 4×4 pour l’atteindre et franchir les deux gués de la F228.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Pigments souffrés » couleur= »white » heure= »14h17″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/200″ angle= »70 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

L’ambiance volcanique est irréelle et les couleurs, passant du jaune aux teintes sanguines sont tout simplement sublimes.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Luminescence » couleur= »white » heure= »14h50″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/5.6″ pause= »1/320″ angle= »200 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Un rayon de lumière sur ce relief oxydé de Veiðivötn. Un moment de grâce.

[/ip_width_txt]

 
 
 

F228


 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »L’enfer et le paradis » couleur= »white » heure= »16h03″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/11″ pause= »1/500″ angle= »70 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Un ciel à la Michel-Ange, l’enfer et le paradis sur la même image.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »La pluie sur les Highlands » couleur= »white » heure= »16h19″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/400″ angle= »116 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

En Islande on « voit » la pluie, on sait là où il pleut en quelque sorte. En voici un exemple sur cette image dont j’aime la composition apaisée.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Le Mordor blanc » couleur= »white » heure= »16h05″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/800″ angle= »191 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Gros plan sur le Loðmundur, machoire de requin posée sur la ligne d’horizon.

[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Infinite Bliss » couleur= »white » heure= »15h41″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/100″ angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

[ip_width_txt]

Tempête de grêle sur la F228. Comme du gros sel sur le sable islandais. Pour une image presque, presque noir et blanc.
[/ip_width_txt]

 
 
 
 
 

BONUS VIDÉO


 

[ip_width_txt]

Revenons à notre premier soir à Reykjavik. Il est 23h, Andy et Emilie sont dans la voiture pendant que je fais des photos du Sólfar, le drakkar islandais, au soleil couchant. Andy est fasciné par la grosse Cadillac de papa. Nous dormirons dedans 23 jours durant.

[/ip_width_txt]

 
 
 

Lire plus