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ISLANDE 2012 † 6

"Le voyage Kodachrome"

Dernière partie 6/6

 
 
 

Vers l’Ile de Flatey

 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La carte marine sur le ferry Baldur » couleur= »white »  heure= » » appareil= » » diaphragme= » » pause= » » angle= » » iso= » »][/ip_exifs_txt]

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Bienvenue à bord du ferry Baldur. Nous avons embarqué à Brjánslækur (au nord) et descendons vers Stykkishólmur sur la péninsule de Snæfellsnes. Nous ferons une halte sur l’île de Flatey « l’île plate », 3 heures durant lesquelles nous pourrons explorer l’île et peut-être rencontrer des islandais, qui sait ?

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Approchant de Flatey nous apercevons son fanal, le Klofningur, si typique des phares islandais dans son habit orange. Il a été construit en 1926.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Enfants de Flatey » couleur= »white »  heure= »13h23″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/5.6″ pause= »1/320″ angle= »169 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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Quand on débarque sur Flatey on ne voit que des visages rayonnants. Des retrouvailles, des embrassades, des brouettes d’enfants. Pas de voiture sur Flatey, pas même de route, quelques maisons blotties autour d’un joli café, puis éparpillées ça et là le long du rocher.

On peut s’y arrêter quelques heures et goûter aux délices d’une vie épargnée par les bruits (et la fureur) de la civilisation.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Bryggjubúðin » couleur= »white »  heure= »13h45″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/160″ angle= »25 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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La première maison que l’on croise sur l’île est un magasin (le seul et unique d’ailleurs, habilement nommé « magasin du quai »), aménagé dans un ancien hangar. Délicieux bazar, merveilleux bric à brac proposant des objets aussi divers que variés.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Urður, la gardienne du temple » couleur= »white »  heure= »13h34″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/40″ angle= »40 mm » iso= »160″][/ip_exifs_txt]

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Bienvenue au Bryggjubúðin !

C’est Urður Bergsdottir, qui nous accueille, gardienne du temple ce jour-là.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Bryggjubúðin » couleur= »white »  heure= »13h43″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/30″ angle= »32 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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Cranes de mouton, macareux empaillés, oeufs colorés, toutes sortes de pierres.
Petits bijoux, créations sur carton, sur papier, broderies, livres et vieux objets.
Sans oublier de gros pulls islandais.
C’est un véritable cabinet de curiosité Viking qui vous attend ici, un trésor d’authenticité.

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Les beaux livres du Bryggjubúðin.

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Sur Flatey les sternes arctiques sont reines. Gare à celui qui s’éloigne du village et flirte avec leur territoire, elles auront vite fait de le chasser.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La maison Stryta » couleur= »white »  heure= »14h23″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/125″ angle= »29 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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Stryta, maison typique de Flatey, est idéalement située en face d’une jolie crique où sommeillent quelques barques de pécheurs. Une grand-mère et son petit fils en sont sortis et ont invité Andy à manger quelques biscuits…

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… profitant de l’aubaine nous fûmes invités à boire un café dans cette maison au charme indescriptible. Les grand-parents de Sigurður Már (le blondinet) connaissent bien les enfants : lui professeur de mathématique à la retraite, elle ancienne institutrice, tous deux sont originaires de Selfoss et passent ici tous leurs étés.

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »La chambre de Stryta » couleur= »white »  heure= »18h28″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/30″ angle= »17 mm » iso= »160″][/ip_exifs_txt]

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Stryta est décorée par Madame avec un soin infini, chaque objet (la maison en fourmille) est classé selon sa couleur et son style. Les pièces sont minuscules, les chambres à l’étage ne semblent pouvoir accueillir que des poupées, mais les ondes et la chaleur qui y règnent donnent envie de rester ici pour l’éternité.

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Les islandais ont pour tradition de décorer leurs fenêtres. Plaisir partagé, échange silencieux entre monde intérieur et extérieur, les objets et bibelots divers trônent fièrement, offerts en pâture aux passants.

La petite maison Stryta ne faillit pas à la règle et chacune de ses ouvertures propose une collection particulière. Cet alignement de bouteilles semble tout droit sorti d’une pharmacie elfique. Elixir, poison ou antidote ? Peu importe, l’envoutement a déjà fait son effet. Depuis longtemps.

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Retour sur le quai où les enfants batifolent. Andy les observe. Il a envie de jouer, mais ils sont bien trop grands !

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Je profite une fois encore de la bienveillance islandaise. Le capitaine du Baldur m’invite à ses côtés pour profiter du spectacle de la traversée.

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Kirkjufellfoss, Hraunfossar

 

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Débarqués à Stykkishólmur nous nous précipitons à Grundarfjörður pour voir Kirkjufell. Il est déjà bien tard, nous dormons à ses pied pour la photographier au petit matin.

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Hraun = Lave. Fossar = Chute. Hraunfossar = Chute de lave. Mais pourquoi ?
Car l’eau surgit de toute part des flancs de lave qui la bordent et non pas d’un cours d’eau. Pour ajouter à la beauté du lieu, l’eau de la rivière est d’un bleu turquoise qui frôle l’indécence.

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Reykjavik

 

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Retour à Reykjavik.
Nous retrouvons ses codes et ses icônes. Parmi eux, ces vieilles voitures américaines des 70s que l’on croise en nombre (rappelez-vous du Dodge Challenger sur Heimaey) dans un pays pourtant totalement inadapté à ce genre de véhicule. La plaque d’immatriculation – comme aux Etats-Unis – peut être personnalisée…

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Les toits de Reykjavik » couleur= »white »  heure= »19h51″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/500″ angle= »160 mm » iso= »100″][/ip_exifs_txt]

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En arrivant le premier jour j’étais monté au vieil hopital pour y photographier l’église. Vous vous souvenez ?

J’ai voulu y retourner juste avant de partir, négociant avec le gardien quelques minutes seul, en haut de la tour, pour embrasser du regard une dernière fois cette ville, la capitale du pays que j’aime tant.

J’y retournerai très bientôt, mais en hiver cette fois !

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ISLANDE 2012 † 2

"Le voyage Kodachrome"

Partie 2/6

 
 
 

F225

 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= »24963″ titre= »Réveil sur la F225″ couleur= »white » heure= »8h14″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/10″ pause= » » angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Réveil dans les Highlands. Nous avons dormi juste là, sur les bords de la piste F225.

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En face de nous cette montagne sombre aux relief dorés. Sublime.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Bus et panneau sur la F225″ couleur= »white » heure= »16h33″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/320″ angle= »70″ iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Nous passerons une partie de la journée sur cette piste, à explorer les points de vue sur le volcan Hekla.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »La chute Þjófafoss et le mont Burfell » couleur= »white » heure= »19h23″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »30 sec » angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Au bout de la piste, en prenant la route 26 sur la gauche nous rejoignons une des plus belles chutes d’Islande. Puissante et engoncée dans son canyon basaltique, sous la protection du Mt. Burfell, Thjófafoss veut dire « Chute des voleurs ». Pourquoi ? Car on y précipitait les voleurs condamnés à la noyade autrefois.
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Vers Thorsmork

 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Stóra Dímun, la colline esseulée » couleur= »white » heure= »12h21″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/11″ pause= »1/320″ angle= »40 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Cette colline est la gardienne de Thórsmörk. Vous la croiserez à l’orée de la F249.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »la vallée de Thórsmörk » couleur= »white » heure= »18h21″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/200″ angle= »70 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Thórsmörk « la forêt de Thor » est un des plus beaux endroits que l’on puisse explorer en Islande. Mais pour l’atteindre il vous faudra d’abord parcourir la piste qui longe la rivière Krossá. Cette vue plongeante sur la vallée permet de l’observer. Son apparence calme est trompeuse car elle peut vite devenir redoutable. À éviter absolument si vous n’avez pas une solide expérience de traversée de gués (et la voiture qui va avec).

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Godaland, la terre des dieux » couleur= »white » heure= »16h18″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/320″ angle= »100″ iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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La randonnée Thórsmörk – Skógar offre des points de vue magiques sur « La vallée des dieux ».

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Emilie éreintée par l’effort » couleur= »white » heure= »16h41″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/11″ pause= »1/250″ angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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La dernière ascension dans la neige est très éprouvante pour Emilie qui porte Andy sur son dos depuis plus de 5 heures.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Andy sur la lave de L’Eyjafjallajökull » couleur= »white » heure= » » appareil= »iPhone 4S » diaphragme= » » pause= » » angle= » » iso= » » ][/ip_exifs_txt]

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Nous voilà enfin arrivés sur le champs de lave encore fumante de l’Eyjafjallajökull . Le sol est chaud, environ 40 degrés pour le plus grand bonheur d’Andy qui peut enfin sortir de son cocon et s’adonner à sa passion : jouer avec les caillous.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Dark Godaland » couleur= »white » heure= »18h48″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/8″ pause= »1/200″ angle= »44 mm » iso= »640″ ][/ip_exifs_txt]

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Redescente vers le camp de base. Cette randonnée de 9 heures, très éprouvante car nous étions lourdement chargés, reste inoubliable. Andy (20 mois) ne s’en souviendra pas mais il en gardera peut-être quelque-chose de magnétique, des odeurs, des sensations.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Baby Bottle Dream » couleur= »white » heure= »20h46″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/125″ angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Heureux mais fatigués ! L’inverse marche aussi.

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Les Îles Vestmann

 

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Steinar Magnússon, commandant du Herjolfur, est un véritable gentleman. J’ai eu la chance et l’honneur de vivre cette traversée à ses côtés. Sur son écran il me montre notre position.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Vue depuis le volcan Eldfell » couleur= »white » heure= »18h41″ appareil= »5DmarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/250″ angle= »32″ iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Point de vue sur les îles Vestmann depuis le sommet du volcan Elgafell.

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Vestmannaeyjar est un archipel de plusieurs iles volcaniques regroupées autour d’Heimaey. Parmi elles deux sont sujettes à fantasme car chacune abrite une et une seule maison.
Voici Elliðaey et Bjarnarey (photo prise depuis Heimaey).
Elliðaey (à gauche) a failli être offerte à Björk dans les années 90 par le premier ministre, pour « sa contribution au rayonnement international de l’Islande », mais l’idée a été abandonnée après les vives protestations de la population locale. Il m’est avis que la chanteuse n’aurait de toute façon pas accepté un tel cadeau !

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Heimaey LifeStyle. Une image réunissant quelques icônes : la voiture américaine (et pas n’importe laquelle, une Dodge Challenger mesdames messieurs s’il vous plait), le mini terrain de foot cerclé de bois, l’église (qui s’apprète à fêter un mariage), quelques maisons et dans le fond le volcan Helgafell.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Maison I/II » couleur= »white » heure= »9h50″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/10″ pause= »1/250″ angle= »24 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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J’adore ces maisons colorées au design un peu suranné façon 70s. On en trouve une belle collection sur Heimaey. En voici deux exemples.

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Il est essentiel de les prendre bien de face pour éviter toute fuyante et rendre toute sa grâce à leur linéarité / simplicité.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Andy et le fermier d’Heimaey » couleur= »white » heure= »9h37″ appareil= »Nikon D800″ diaphragme= »f/10″ pause= »1/160″ angle= »24″ iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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4000 habitants vivent paisiblement sur Heimaey. Protégés du reste du monde ils se connaissent tous. Ce fermier nous a reçu dans son jardin et raconté son histoire, marquée par l’éruption de l’Helgafell en 1973. En observant l’image je remarque les sucettes suspendues au dessus des oies et je me demande à quoi elles servent ? Peut-être à faire fuir les sternes prédatrices !

Dans le fond on aperçoit le sommet neigeux de l’Eyjafjallajökull, les habitants d’Heimaey étaient aux première loges pour l’éruption de 2010.

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Les éléphants sont nombreux en Islande. J’ai croisé celui-ci en faisant le tour d’Heimaey sur le bateau de Viking Tours. Un beau mâle semble-t’il, certes un peu âgé (quelques millions d’années) mais le regard reste vif et conquérant.

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Un des nombreux oiseaux que l’on peut observer sur Heimaey.

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Le Herjolfur, majestueux ferry de Vestmannaeyjar, est de retour. Il est temps de repartir sur le continent.

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Un dernier regard sur Heimaey avant de poursuivre nos aventures. Je ne le sais pas encore mais j’y retournerai en juin 2014 en tant que guide (à lire dans un prochain récit).

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ISLANDE 2009 † 1

"Le voyage inaugural"

Partie 1/3

 

 

Carte d'Islande partie 1 du récit de voyage 2009

 

 

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L’Islande n’était pas si populaire en 2009, encore chancelante de la crise bancaire survenue quelques mois auparavant. Toujours aussi secrète et vous allez le voir, encore assez déserte. Rêvée depuis toujours, j’avais minutieusement préparé cette expédition. L’investissement était tel que je craignais ne pouvoir y retourner de si tôt, peut-être même jamais ? Je voulais donc tout voir ou presque, ne surtout rien manquer de ce miracle naturel.

Cette galerie est un collier composé des perles les plus précieuses : des premières fois. Premières chutes, premières pistes noires au milieu de volcans, premiers gués traversés, premiers glaciers.

Cher ami qui lit ces lignes, peut-être as-tu déjà connu ta première fois en Islande ?
Ou bien prépares-tu ton voyage inaugural en ravissemenent ?

Si c’est le cas, sache que ce voyage est présenté en respectant un ordre chronologique : nous avons cheminé dans cet ordre-là, exactement. Cela te donnera une idée du parcours et la proximité des différents lieux explorés.

Ce premier tour d’Islande va changer ma vie. Tu en seras le témoin désormais.[/ip_width_txt]

Route 32

 

 

[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= »25333″ titre= »Hjalparfoss (1) » couleur= »white »  heure= »14:46″ appareil= » » diaphragme= »f/11″ pause= »30 sec » angle= »16 mm » iso= »100″]La chute Hjalparfoss en noir et blanc[/ip_exifs_txt]

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Se lancer sur les pistes islandaises c’est… comme une seconde naissance. L’exploration d’un nouveau monde. À environ deux heures de la capitale c’est Hjálparfoss qui ouvre le bal. Hjálparfoss, cela veut dire « la chute des enfants ». Effectivement, 3 jeunes islandais batifolent au fond du bassin. Vous les voyez ?

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[ip_exifs_txt vendre= »oui » produit= » » titre= »Haifoss & Granni (2) » couleur= »white » heure= »17:10″ appareil= »Canon 50D » diaphragme= »f/11″ pause= »30 sec » angle= »13 mm » iso= »100″ ]Les chutes Haifoss et Granni en Islande[/ip_exifs_txt]

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Si j’avais dû établir une liste de mes premiers désirs avant de partir c’est ce couple éternel qui l’aurait emporté. C’est donc vers elles que sorti de la ville nous nous sommes empressés. Quel spectacle grandiose ! Háifoss et Granni (122 mètres !), se dévoilent enfin sous un déluge de pluie, après 20 minutes d’une piste accidentée.

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Landmannalaugar

 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Emilie devant le Stutur Crater (3) » couleur= »white »  heure= »19:36″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/80″ angle= »24mm » iso= »250″ ]Emilie frissone devant le Stutur Crater au Landmannalaugar[/ip_exifs_txt]

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Le Landmannalaugar, j’ai voulu le voir dès le premier jour. Nous y voici arrivés en fin de journée après avoir cheminé sur la F208 nord. Faisant face au petit cratère Stutur, Emilie frissonne devant tant de beauté… ou peut-être à cause de ce petit air frais ? Et oui… nous sommes le 3 août et il fait… 5 C°.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Linaigrettes de Scheuchzer au Landmannalaugar (4) » couleur= »white » heure= »21:30″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »F/6.3″ pause= »1/80″ angle= »17 mm » iso= »400″ ]Fleurs de coton au Landmannalaugar[/ip_exifs_txt]

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Du Landmannalaugar le photographe ramènera souvent des images colorées. Voici pourtant une première image noir et blanc de la vallée. Ces fleurs cotonneuses gorgées d’eau, fouettées par le vent, me semblent être un témoin privilégié de la météo plus que « capricieuse » que nous allons subir – nous ne le savons pas encore – 23 jours durant.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Blahnukur » couleur= »white » heure= »10h35″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/13″ pause= »1/80″ angle= »40 mm » iso= »250″ ]Montagne du Landmannalaugar en Islande [/ip_exifs_txt]

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Randonnée sur Blahnukur, la montagne bleue sous un déluge de pluie.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Montagne du Landmannalaugar (5) » couleur= »white » heure= »13:18″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/125″ angle= »27 mm » iso= »250″ ]Montagne du Landmannalaugar en Islande [/ip_exifs_txt]

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Je me lamentais de cette météo si détestatable, du ciel bas et d’un objectif détrempé ! Passé la colère je me console en voyant les images qui traduisent bien je crois l’émotion ressentie.

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Vík í Mýrdal et la côte sud

 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Petit déjeuner avec Rune le norvégien (6) » couleur= »white » heure= »11:01″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/5.6″ pause= »1/60″ angle= »36 mm » iso= »250″ ]Petit déjeuner avec Rune au camping de Vik[/ip_exifs_txt]

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Tempête sur Vik. Au petit matin les yeux des campeurs sont rougis par une nuit sans sommeil. De nombreuses tentes sont éventrées et les compagnons d’infortune ont trouvé refuge à même le sol de la salle à manger. Le temps d’un café j’échange avec Rune qui vient d’achever le trek du Laugavegur.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Roche volcanique sur la plage de Reynisfjara (7) » couleur= »white » heure= »15:59″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/6.3″ pause= »1/30″ angle= »17 mm » iso= »800″ ]Roche volcanique sur la plage de Reynisfjara[/ip_exifs_txt]

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Comment ne pas être fasciné par la variété des formes, des textures et du mouvement de cette roche, ancienne lave en fusion aujourd’hui pétrifiée.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Couleurs marines (8) » couleur= »white » heure= »13:33″ appareil= »Canon 50D » diaphragme= »f/6.3″ pause= »10 sec » angle= »17 mm » iso= »100″ ][/ip_exifs_txt]

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Je brûlais d’essayer mon filtre sur de l’eau en mouvement alors pourquoi ne pas commencer sur cette plage ? Le résultat vaporeux, calme et doux comme une berceuse est l’exact opposé de la réalité.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Vík í Mýrdal (9) » couleur= »white » heure= »14:12″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/9″ pause= »1/160″ angle= » » iso= »160″ ]Le village de Vik et son stade vu depuis la colline[/ip_exifs_txt]

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Vík í Mýrdal depuis la colline Reynisfjall.
Nous ne pourrons malheureusement plus faire cette photo et je tenais à t’en informer : une digue de lourdes pierres a en effet été construite depuis, perpendiculaire à la plage.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Sombre océan (10) » couleur= »white » heure= »16:46″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/6.3″ pause= »1/100″ angle= »17 mm » iso= »100″ ]La plage de Vik en Noir et Blanc dans la tempête[/ip_exifs_txt]

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La voici cette plage gothique, une des dix plus belles plages du monde selon Island Magazine. Les bourrasques de vent y sont telles que les oiseaux semblent trop effrayés pour voler. Seules deux silhouettes fantomatiques nous font écho dans le lointain.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Skogafoss (11) » couleur= »white » heure= »14:10″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/100″ angle= »36 mm » iso= »100″ ]La chute Skogafoss avec un personnage pour donner l'échelle[/ip_exifs_txt]

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Un rayon lumineux est pourtant apparu. Fugace, il n’a éclairé Skógafoss que durant quelques secondes. Quelques secondes d’éternité car le premier regard posé sur Skógafoss, on ne l’oublie jamais.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Land Rover à Kirkjubæjarklaustur (12) » couleur= »white » heure= »8:15″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/4.5″ pause= »1/40″ angle= »28 mm » iso= »100″ ]Land Rover avec le drapeau islandais au camping de Kirkjubæjarklaustur[/ip_exifs_txt]

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Nuit à Kirkjubæjarklaustur avant d’attaquer la F206 en direction du Laki. La météo est toujours infernale et le monsieur du camping nous a déconseillé d’y aller car la visibilité sera nulle. Mais je ne peux me résoudre à cet abandon. Le Lakagigar, j’en ai trop rêvé.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Fagrifoss (13) » couleur= »white » heure= »17:42″ appareil= »Canon 50D » diaphragme= »f/9″ pause= »30 sec » angle= »10 mm » iso= »100″ ]La chute de fagrifoss en pause longue[/ip_exifs_txt]

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Située sur la F206 qui mène au Lakagigar, je suis subjugué par sa beauté. Cheveux d’anges, voile de mariée ? Fagrifoss veut dire « Belle chute » en islandais.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Traversée de gué sur la F206 (14) » couleur= »white » heure= »18:23″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/7.1″ pause= »1/500″ angle= »39 mm » iso= »800″ ]Traversée de gué avec le Hummer H2[/ip_exifs_txt]

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Traversée de gué sur la F206.
Le Hummer H2 est un partenaire fidèle et dévoué. Nous menant bon train à hauteur cavalière, ne lui résiste aucun chemin, aucune rivière.
Il est notre voiture, notre bateau, notre salon avec vue, notre cuisine, notre salle à manger, notre chambre à coucher.

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Skaftafell

 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »La ferme SEL dans le parc de Skaftafell (15) » couleur= »white » heure= »19:15″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/8″ pause= »1/25″ angle= »36 mm » iso= »100″ ]La ferme SEL dans le parc de Skaftafell[/ip_exifs_txt]

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Surplombant ce désert, la vieille ferme Sel date du moyen âge. On la trouve dans le parc national de Skaftafell, devenu depuis le parc national du Vatnajökull. Nichée dans la tourbe pour se protéger du froid, elle fut abandonnée en 1946.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Black Svartifoss (16) » couleur= »white » heure= »18:34″ appareil= »Canon 50D » diaphragme= »f/5.6″ pause= »30 sec » angle= »15 mm » iso= »100″ ]La chute Svartifoss et ses orgues basaltiques[/ip_exifs_txt]

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La reine de Skaftafell c’est elle, une des chutes emblématiques de l’Islande. Rayonnante dans ce concert d’orgues basaltiques, voici Svartifoss.

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Ingólfshöfði

 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Bataille de regards (17) » couleur= »white » heure= »13:18″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »F/10″ pause= »1/800″ angle= »121 mm » iso= »640″ ]Des moutons regardent un grand labbe sur la péninsule d'INGOLFSHOFDI[/ip_exifs_txt]

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Je tenais absolument à découvrir Ingolfshofdi, cette presqu’île que l’on atteint en tracteur à travers la lagune. On y découvre de nombreux oiseaux emblématiques comme le Grand Labbe dont l’envergure atteint 150 cm.
Posant ici dans une bataille de regard improbable avec un mouton, la photo est propice à vous montrer sa taille impressionante.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »La lagune d’Ingólfshöfði (18) » couleur= »white » heure= »14:30″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/10″ pause= »1/200″ angle= »17 mm » iso= » » ]La lagune d'INGOLFSHOFDI[/ip_exifs_txt]

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Voici la lagune que nous devons traverser pour rejoindre la terre ferme. C’est Matta qui nous mène sur ce chemin invisible entre ciel et mer, seulement guidés par quelques piquets de bois.

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[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Route vers l’est (19) » couleur= »white » heure= »20:40″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/4″ pause= »1/40″ angle= »39 mm » iso= »100″ ]Sur le pont métalique de la route 1[/ip_exifs_txt]

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Le Skeiðarársandur est une plaine sur la côte sud formée par les eaux de fonte d’un glacier. La route 1 traverse ces grandes étendues lunaires rythmées par des ponts métalliques souvent reconstruits à la suite de « flooding » dévastateurs, sorte de tsunamis terrestres causés par les éruptions volcaniques.

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Jokulsarlon

 

[ip_exifs_txt vendre= » » produit= » » titre= »Nuit sur le Jokulsarlon (20) » couleur= »white » heure= »21:15″ appareil= »Canon 5DMarkII » diaphragme= »f/13″ pause= »1/6″ angle= »29 mm » iso= »100″ ]Le lac glaciaire Jokulsarlon la nuit[/ip_exifs_txt]

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Le graal, le saint des saints pour tout photographe c’est lui : le Jokulsarlon. Je le découvre dans la nuit. Fantomatique. Vivement demain !

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